jxu105 a écrit :pépère a écrit :
Oui mais là faut pas vous plaindre.
Il y'a tellement eu d'abus que maintenant c'est le retour du bàton.
Aujourd'hui tu peux encore faire des efforts aidés par les pouvoirs publiques, demain c'est plus rien et se sera de fgrés ou de force.
Les éléments topographiques pour la nouvelle PAC, ça vient des haies arrachées par abus n'importent comment.
Non, faut arrêter les conneries, par ce que ceux qui font des efforts se retrouvent aussi à remplir des papiers à la con, gràce aux abus des autres (phyto, plan d'épandage, ect ...).

+1
tt à fait la dessus, on ne saurait pas te reprocher d'avoir tord pépère

mon père en a connu et on en connait tjs d'ailleur qui abuse tjs sur les épandages lisier et engrais, sans compter les arachage de haies abusif... etc
comme dit pépère on a ce que l'on mérite

c'est le retour du coup de la lame à double tranchant

en attendant à cause de ca, il y a rien de plus énervant pr celui qui a bonne consciance des chose et qui respecte la nature de devoir remplir un tat de paperasse ridicule

à cause de conneries de certain...
ceci dit je comprend la réaction de mlgbzh

il y a des choses où ils sont en train d'abuser en sens inverse maintenant
malheureusement on les a cherché et ils ns ont bel et bien trouvé...

Bien sûr qu'il y a eu des abus.
Mais depuis 10/15 ans, c'est devenu l'inverse: on nous presse sur les nitrates, et les algues vertes augmentent. Comble du truc, même sans nitraten ca vient.
Ben oui,les phosphates y sont pour bien plus. Maus là, on va toucher à l'électeurs: qui paiera la station d'épuration neuve???
Un truc rigolo cette année, j'ai fait 2 reliquat azote sortie hiver: dans le champs: 24 kg (27 avant hiver), dans un bois: 48 sortie hiver (61 avant)
Vive les couverts végétaux.
Maintenat, à qui profite la méthode de détruire de l'engrais naturel, pour compléter par du chimique? Pas aux paysans, niveau environnement ,c'est GENIAL
Je préfère rester petit, avec le troupeau de truies cohérent au maxi avec ma surface. C'est un choix, mais plus les années passent, plus je pense avoir fait le moins mauvais (à défaut d'être le bon)