C etait pas trop le moment d investir mais pour une fois qu'il y en avait une pas loin de chez moi ....
Le plancher arrière et le bas des passages de roues sont à refaire mais sinon elle est Nikel ! Pour 700 euros ..
Superbes, tes veaux, dans la stabul
D'origine Franc-Comtoise, ta bétaillère, fabriquée en Haute Saône, à Port sur Saône Un peu de soudure, et elle sera bonne pour le service
Hervé 38 a écrit :Merci !
Sa dépend à quelle heure ont prend la photo , si c est le soir apres le passage de la pailleuse sais tout de suite plus propre !
Tes bêtes sont propres sur elles, c'est révélateur de l'attention que tu leur porte
Masterboy633 a écrit :'ai souvent vu des élevages où les bêtes avaient les cuisses couvertes de bouses. Ca en disait beaucoup sur le patron
c'est un peu rapide comme raccourci
par ici, faut faire presque 100kms pour acheter de la paille qui te revient aussi cher que le foin (une fois rendue), alors on peut comprendre par ces temps de crise que ce ne soit pas la priorité des éleveurs qui ne produisent pas de céréales.
perso j'utilise en plus un assechant litiere,ce sont des bactéries qui demarre la decomposition du fumier qui se composte plus facilement par la suite .
certes ca a un cout mais les betes restent propres tout le temps ,et le confort est aussi pour les veaux moins d'amoniac.
sinon il y a la possibilité de mettre une couche de miscantus ,et la t'es peinard ,juste a remuer une fois semaine avec petit rota ou herse rotative au ralenti
IH chez nous,notre region c'était pas un nid ici ,un poulailler ,une basse cour ,que dis je une forteresse rouge et là le coucou vert vient sortir les œufs rouge un par un ,et case regarde! et meme donne sa benediction, ils refusent le pain beni.
Masterboy633 a écrit :'ai souvent vu des élevages où les bêtes avaient les cuisses couvertes de bouses. Ca en disait beaucoup sur le patron
c'est un peu rapide comme raccourci
par ici, faut faire presque 100kms pour acheter de la paille qui te revient aussi cher que le foin (une fois rendue), alors on peut comprendre par ces temps de crise que ce ne soit pas la priorité des éleveurs qui ne produisent pas de céréales.
Ceci remonte à plus de 15 ans. La crise n'était pas aussi présente qu'actuellement.
Les individus auxquels je faisais allusion ne voyaient dans leurs bêtes que de la monnaie sur pattes. Et les soins apportés étaient limités au strict minimum